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La situation au Xinjiang, région du Nord-Ouest de la Chine, a ces dernières années suscité une attention internationale croissante. Les rapports sur les internements massifs de Ouïghours et d’autres groupes ethniques dans des camps de rééducation, le travail forcé, les stérilisations forcées et autres atteintes aux droits humains font la une de l’actualité et affectent les relations entre la Chine et ceux qui la critiquent. Le gouvernement chinois, en revanche, justifie sa manière d’agir par la lutte contre le terrorisme, l’extrémisme islamique et le séparatisme ethnique. << Le Xinjiang – la Chine et les Ouïghours >> présente pour la première fois en français une analyse scientifique plus approfondie de ce sujet très controversé. La première partie du livre constitue une introduction prégnante, claire et vivante de l’histoire complexe de la région. La deuxième partie présente l’évolution au XXIe siècle, dressant un tableau à multiples facettes du développement économique, de l’identité ethnique et de la politique linguistique et religieuse. La troisième partie remet en question les interprétations courantes du conflit au Xinjiang, analyse les protestations et les actes de terrorisme de même que les mesures de répression de l’État et la dimension internationale du conflit. Proche des sources, basé sur les résultats de la recherche la plus récente et avec un souci constant de neutralité, << Le Xinjiang – la Chine et les Ouïghours >> offre une image équilibrée des conflits actuels.
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Qu’est-ce qui compte dans l’évangile de Matthieu: les disciples de Jésus doivent-ils tenir aux recommandations de leur maître qui, dans le cadre du discours d’envoi en mission leur interdit strictement de prendre le chemin des païens et d’entrer dans une ville de Samaritains et qui limite par contre leur mission uniquement «aux brebis perdues de la maison d’Israël» (Mt 10,5f) ou alors doivent-ils suivre l’invitation du Jésus ressuscité qui les envoie dans «le monde entier», c’est-à-dire leur ordonne de «faire de toutes les nations des disciples et de les baptiser» (Mt 28,19)? Ces deux ordres de mission de Jésus qui, à première vue s’excluent mutuellement, constituent le cadre de notre dissertation intitulée: L’exclusion des Païens et la Dimension universelle du Salut dans l’Évangile de Matthieu. La thématique ainsi formulée est très alléchant. Il n’ y a qu’à considérer l’état de la recherche que nous avions fait pour découvrir l’intérêt que les chercheurs porte sur cette problématique. Dans notre essai de solution, nous avons choisi d’analyser de manière détaillée un éventail de textes du premier évangile que sont: Les femmes non-juives dans la généalogie de Matthieu (Mt 1,1-17); les mages devant le roi des Juifs (Mt 2,1-12); l’aire géographique de l’activité de Jésus (Mt 4,23-25); le centurion de Capharnaüm (Mt 8,5-13); la concentration de la mission sur Israël (Mt 10,5f); la femme cananéenne (Mt 15,21-28); la prophétie de la proclamation universelle de l’évangile (Mt 24,14); la femme de Pilate (Mt 27,19) ainsi l’ordre de mission universelle auprès des nations (Mt 28,16-20). A l’issue de cette analyse, nous sommes aboutis aux résultats selon lesquels les Païens se trouvent non seulement depuis le commencement dans l’horizon de l’activité de Jésus, mais encore ils sont présentés comme des figures paradigmatiques dans l’évangile de Matthieu, comme nous pouvons le voir clairement dans la péricope de mages, le centurion païen de Capharnaüm ainsi que la femme cananéenne. Ensuite nous avons différencié les deux concepts de mission dans l’évangile de Matthieu sous la terminologie de «petite» et «grande mission» qui correspondent en fait à la différence entre le Jésus terrestre et le Jésus ressuscité. Le dernier diffère du premier par « l’autorité au ciel et sur la terre» que Dieu procure. Enfin, nous avons avec grand intérêt essayé de classifier les différentes positions de la communauté matthéenne par rapport à la question de la mission auprès des Païens. C’est ainsi que nous avons distingué trois directions: (1) La position intermédiaire reste ouverte aux Païens, mais n’exerce de manière active aucune activité missionnaire auprès de ces derniers, l’initiative devant venir plutôt des Païens eux-mêmes. Les péricopes telles que Mt 2,1-12; 8,5-13 et 15,21-28 reflètent sans conteste ce modèle. (2) La position radicale est hostile à l’accueil des Païens dans la communauté. Les partisans de cette position se réfèrent à Mt 10,5f et Mt 15,24. (3) La position libérale soutient par contre une politique offensive: il ne suffit pas, d’après le modèle du pèlerinage eschatologique des peuples, d’attendre la venue des Païens, c’est plutôt la communauté matthéenne qui devrait prendre l’initiative d’aller vers eux (Mt 28,16-20). Ces trois positions reflètent en fait une communauté matthéenne en discussion. Aussi avons nous vu en définitive que la tension entre le particularisme et l’universalisme relève d’un apophtegme du milieu sociologique dans lequel est enracinée la communauté de Matthieu.
The history of intellectual and cultural contact between West and East is very complicated and contradictory. A long time ago, eastern culture attracted the attention of many writers, orientalists and researchers, who headed east not only to study and describe the fascinating eastern civilizations, but also to analyze their different literary, historical and scientific aspects.
The new mysterious but exciting environment inspired the orientalists to record and describe what they experienced regarding the architecture, the nature and the people. The attractive eastern natural views which are distinguishable from the monotonous western environment – especially after the industrial revolution – helped them to find new prospects.
The East has been coming into focus since the middle ages, when the church campaigns started to study Islam as the prevalent religion in this area. The orientalist motivations were not only religious, but also followed economic, colonial and scientific agenda, which lead to a plethora of specialized research, stories, novels and analytical studies. A close look at the orientalists’ works will provide us with an overview of eastern civilization. Therefore, their works are considered as a mirror reflecting their point of view to the east and the north of Africa, especially to pharaonic Egypt.
The orientalists who travelled to the east and expressed their passion to this old civilization in their writings influenced the literary movement deeply. But what do we mean by the term orientalism? Edward Saïd has defined this term in different ways. Saïd presented and interpreted it as a way of thinking, a historical phenomenon. Defining orientalism has become a problem indeed, and now it is carrying a number of meanings which do not match. Therefore, the aim of the study is to bring into focus the most important definitions of the term orientalism from the late 17th to the mid-20th century.
The novel Madame Chrysanthème (1887) and the essays collected in Japoneries d’automne (1889) written by French travel author Pierre Loti offer a paradoxical view of Japan during the Meiji period. In both travel writings, the author is torn between aesthetic japonism – which spread all over Europe at the end of the 19th century – and exotic expectations, i.e. the picturesque fascination of the Other. The latter, however, remains unsatisfied throughout his stay. In both writings, Pierre Loti provides an insight into Japan that entirely reflects the spirit of his time. Thereby, he contributes to an image of Japan, which will long remain vivid in the Occident. Contemporaries perceive Loti’s representation of Japan as a realistic testimony, tinged with both sensory impressions and his highly ambiguous feelings towards the distant country, which in the end remained incomprehensible to him.
Mokutu et le coq divinatoire
(1984)
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